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T'entends quoi?

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Oscar 2012 dans la catégorie du 
 court métrage documentaire
pour "Saving Face":la réalisatrice pakistanaise
Sharmeen Obaid-Chinoy lance sa campagne
contre les attaques à l'acide qui chaque année
défigurent + d'une centaine de femmes.
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Pour suivre les décisions et les changements
voulus par le peuple et pour le peuple
c'est ICI, dossier ALUR pour ex
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+ de zik ici [les notes que j'aime]

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...pour voir le film de Yann Arthus-Bertrand
et une critique ici
; autre film (7'30):
Des fOrêts et des hommes
horloge mondiale
un moment Ted ici, avec Jill Bolte
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comprendre l'histoire d'Israël
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août 06 et toujours actuel...
138 pays reconnaissent la Palestine
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diplomatiques, le pays est devenu membre de l'ONU
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Cap à citer

earth hour
 Samedi 29/03/14:
20h30/21h30
 ...merci à tous 
www.earthhour.be.
le 23/03/2013
on a aussi éteint les lumières!
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Tunisie-drapeau.jpg

Pour une Tunisie et une Egypte
libres & démocratiques
calligraphie
bravo aux Lybiens, ya du travail encore...:

 courage aussi aux Yéménites, avec la révolution des femmes:

Drapeau du Yémen
...aux Syriens, qui paient cher:
aux Maliens, en proie au mal anti-éducation qui fait le lit de toutes les dominations:
et, que partout où
la liberté est bafouée,
la révolution se propage:
Algérie,Bahrein,Burkina Faso,Chine,
Djibouti,Haïti,Irak,Iran,Japon, 
Jordanie,Kenya,Koweit,Liban, 
Maroc,Mauritanie,Nigeria,Oman,
Palestine et Israël,Somalie,Soudan 
 ...France!
...Ukraine qui choisit des valeurs de démocratie dans le rapprochement à l'Europe, au détriment d'avantages économiques à rester liée à la Russie! Avec les risques extrémistes que ça comporte...
Thaïlande...
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l'origine du  mot  bug
Severn, la voix de nos enfants
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de notre ami Vladimir Vodarevski
ZEM apprenti maître zen
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cannabis, attention quand même...
dangers, alerte, qlqs infos
chez cardamome
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lettre ouverte d'un gendarme au président
de la république M. Hollande:

Couches Absorbées

Caplibreurs et surfeurs

Blog animé depuis bientôt 7ans

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Je m'insurge!

Hommage à Stephane Hessel, récemment il avait subi la censure pour s'être exprimé contre les choix du gouvernement israëlien à l'encontre du peuple palestinien

 

ici, extrait de son indignation chez Taddeï

ses voeux de résistance 2011

en savoir plus à la fin de cette page en clic

******************************************************************************

L'homme que vous voyez sur la photo n'est pas un 'Black Block' ni un misérable retraité. C'est Manolis Glezos qui en 1941, sous l'occupation nazie, est monté sur l'Acropole et a retiré le symbole nazi, la croix gammée. Qui est-il?
 
Manolis Glezos Manolis Glezos
70 ans + tard des personnes en uniforme, serviteurs des banques, qui ne mériteraient même pas de lécher ses chaussures, ont l'audace de lever la main sur lui...
Ceux qui ne comprennent pas que nous voyons monter une nouvelle forme de fascisme financier devraient y réfléchir à deux fois.
 Un lien chez bernard

******************************************************************************

Suite aux pétitions de demande de soutien qui circulent:


Je déclare ne soutenir Eric Zemmour dans son combat pour la liberté d’expression qu'avec la réserve qui s'impose en regard du commerce qu'il fait de son impertinence dans sa posture d'opposition fanatique à ce qu'il appelle la pensée unique, opposition massive qui n'est qu'un grand fourre-tout de toutes les transgressions délétères par l'incitation à décomplexer toute forme de propos, de posture et d'investigation raciste.

Le poids de la parole publique enjoint une responsabilité et une prudence éthique qui, de toute évidence, lui pèsent dans son fantasme de toute puissance infantile tellement patent.

Ainsi, je NE CONDAMNE PAS LES PLAINTES ET PROCES QUI LUI SONT FAITS, NI LES CAMPAGNES DE SENSIBILISATION CONTRE SES EXCES ET SES FRANCHISSEMENTS DE LIGNE. Les pressions et menaces dont il fait régulièrement l’objet, en revanche sont nulles et non avenues.
Vous pourrez vous informer sur la charte éthique professionnelle du journalisme sur ce lien, dont:
- Refuse et combat, comme contraire à son éthique professionnelle, toute confusion entre journalisme et communication
- Ne confond pas son rôle avec celui du policier ou du juge
- Respecte la dignité des personnes
- N’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée
- Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles/répond devant la justice des délits prévus par la loi
- tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, la déformation des faits, le mensonge, la manipulation, (...) pour les plus graves dérives professionnelles
http://obeissancecanine.free.fr/images/exercice1.gif
 vous pouvez commenter ici >> page blanche
31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 15:18


Calmez votre esprit



On connaît la belle citation de Pascal: "Tout le malheur de l’homme vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre." Je n’irais sans doute pas aussi loin, mais je suis convaincu en revanche qu’un mental serein est le fondement même de la paix intérieure. Et cette dernière se traduit toujours par la paix extérieure

Il existe de nombreuses méthodes destinées à calmer l’esprit – la réflexion, la respiration, la contemplation, la visualisation – mais la plus universellement reconnue est certainement la méditation. Il suffit de cinq à dix minutes par jour. Intégrée à votre vie quotidienne, cette pratique vous rendra moins irritable, et vous apportera une plus grande hauteur de vue: vos "montagnes" seront ramenées à leurs justes proportions, celles de simples "taupinières".

La méditation vous offre l’expérience de la relaxation absolue.

 

Elle vous enseigne à être en paix avec vous-même.


Là encore, il existe plusieurs formes de méditations.

Toutes consistent à se vider l’esprit. En général, elles se pratiquent seul, dans un environnement calme. Fermez les yeux et concentrez-vous sur votre respiration (inspiration, expiration… Lorsqu’une pensée se présente au portillon, repoussez-la gentiment et ramenez votre attention sur votre rythme respiratoire.

Méditez régulièrement. Au fil des semaines, l’exercice vous deviendra familier. Il n’est pas pour autant facile. Vous remarquerez que votre cerveau est assailli de pensées dès que vous tentez de le calmer. Même si certains d’entre nous ont de nettes prédispositions au vide mental, il est rare qu’un débutant réussisse à fixer son attention pendant plus de quelques secondes. Le meilleur moyen de progresser ? La patience et l’assiduité. Ne vous découragez pas. Quelques minutes par jour vous prodigueront des trésors, au fil du temps. Vous pouvez vous insrire à un cours de méditation, apprendre dans un livre ou, mieux encore, avec un support audio (il n’est pas commode de lire les yeux fermés !!). Quoi qu’il en soit, je ne connais pas beaucoup de personnes, parmi celles que je considère en paix avec elles-mêmes, qui n’aient pas expérimenté la méditation, sous une forme ou une autre.


R. Carlson

proposé par mamadomi
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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 09:16

photo shows back of head with colourful hat against mountainsPuisque la famille peut modifier la souffrance d'un de ses membres, la culture peut aussi lui donner des sens très différents. Dans une société où les chamans ont encore un rôle à jouer comme en Sibérie, il y a peu de psychotraumatismes. Le réel est très dur, il inflige des expériences cruelles, mais à peine un membre est-il blessé que le groupe, orchestré par le chaman, l'entoure et le réintègre grâce à des rituels magiques. Il s'agit de contrôler l'adversité au moyen de chants, de danses, de maquillages et de formules qui chassent le mauvais esprit et permettent au blessé de reprendre possession de son monde intime fracassé par l'accident. Le trauma a existé dans le réel comme une blessure parfois grave, mais le traumatisme n'a pas eu le temps de se développer puisque la meurtrissure a été aussitôt pansée par l'entourage et intégrée dans le mythe culturel.
 
Il s'est passé un phénomène analogue aux Etats-Unis après les attentats du 11 septembre 2001. Les New-Yorkais n'avaient pas une réputation de grande tendresse: "Si quelqu'un tombe dans la rue, on l'enjambe pour ne pas arriver en retard au bureau", disait le stéréotype. L'incroyable horreur des tours qui s'effondraient en brûlant a instantanément provoqué un réflexe de solidarité: les familles, les amis et même les inconnus sont accourus pour aider les New-Yorkais en difficulté. On n'evait jamais vu autant de restaurateurs dresser des tables dans la rue afin que les sauveteurs puissent se reposer et s'alimente gratuitement avant de se relancer dans la bataille. Le monde entier a cherché à comprendre ce qui s'était passé et à faire des projets afin de se défendre... ou de contre-attaquer. Dans le réel, le coup a été immense, mais dans les années qui ont suivi l'attentat, la culture new-yorkaise a changé: on se parle, on s'invite, on s'entraide et le taux de suicide n'a jamais été aussi bas depuis 1930! Le chaman sibérien et le restaurateur new-yorkais nous permettent de comprendre à quel point la culture participe au traumatisme.

On n'a jamais si bien entouré nos enfants. On n'a jamais si bien compris leur monde intime et pourtant, ils n'ont jamais été autant déprimés et anxieux. Tout le monde s'en étonne, sauf si l'on admet que comprendre n'est pas soigner, et qu'il n'y a pas de progrès sans prix à payer. A l'époque encore récente où la technologie ne nous permettait pas de nous abstraire du monde sensible, les corps constituaient les principaux outils pour agir sur le réel, mieux que les machines. Les hommes produisaient du social avec leur dos et leurs bras en descendant à la mine et les femmes qui déjà travaillaient beaucoup aux champs et dans les usines pérennisaient cette culture avec leur ventre en mettant au monde des futurs soldats, ouvriers, paysans ou princesses. Aujourd'hui, ceux qui savent commander aux machines commandent au monde et cette victoire a pour effet de créer une humanité virtuelle avec un monde affectif extrêmement dilué. Au Moyen Age, on vivait dans un monde de représentations qui nous permettaient de mieux supporter la mort
des enfants, ou la famine fréquente. Aujourd'hui, grâce à nos progrès techniques, nous contrôlons mieux ce réel, mais les hommes ne peuvent plus faire l'offrande de leur travail aux femmes puisqu'elles gagnent leur vie elles-mêmes. Et les femmes assument moins leur rôle de liant familial puisqu'elles n'acceptent plus de se sacrifier. Ces progrès permettent de mieux maîtriser les coups portés par le réel et d'épanouir les personnalités, quel que soit le sexe, mais la dilution des liens constitue l'effet secondaire de cette amélioration puisque chacun a moins besoin de l'autre pour survivre et se développer. Nos progrès techniques et culturels évitent un grand nombre de traumas réels mais, en cas de malheur, nous empêchent de maîtriser leurs conséquences psychiques en supprimant l'effet chaman.

Un autre effet secondaire de l'épnouissement des personnalités se trouve dans la déparentalisation. Le salariat, incontestable progrès technique, donne un grand confort aux hommes et une très grande liberté aux femmes. En Suède où la classification sociale se fait moins sur la hiérarchie des compétences (les experts en haut, les moins qualifiés en bas), on constate que les hommes s'épanouissent mieux dans les entreprises privées et que les femmes se socialisent mieux dans les structures salariées stables comme la médecine d'Etat ou les institutions publiques. Ce qui revient à dire qu'en cas de trauma le salariat qui sécurise et engourdit les hommes protégera mieux les femmes et que l'Etat qui participe à cette émancipation modifie et sexualise les tuteurs de résilience.

Depuis 3 décennies, la transformation des liens du couple et des rôles parentaux a complètement changé la structure familiale dans laquelle se développent nos enfants. Leur monde sensoriel, les rythmes quotidiens, l'investissement parental ne sont plus les mêmes. Il y a 50 ans, une petite fille était mise au monde pour soutenir la vie familiale et un petit garçon était voué à devenir le "bâton de vieillesse" de ses parents dans une société dépourvue de caisses de retraite. Les bébés ne sont plus pensés ainsi, la filiation est métamorphosée. L'enfant ne descend plus de ses parents, c'est plutôt lui qui ordonne le foyer, rythme les journées, les sorties, les vacances et les déménagements. L'instabilité croissante des nouvelles structures familiales crée des systèmes à polyattachements qui parfois conviennent à l'enfant en lui permettant d'échapper à un parent tyrannique ou psychiquement altéré, mais qui peuvent aussi disposer autour de lui quelques adultes dont l'attachement fugace ne permet pas d'acquérir une affection sereine.

L'avenir de cette manière d'aimer n'est pas assuré. Les groupes sociaux, les familles ou les individus qui pensent que l'aventure de la personne est une valeur prioritaire défendront ces styles affectifs. Mais ceux qui sont angoissés par l'aventure de l'autonomie découvriront les vertus des mariages arrangés "à la moderne" où les adultes proposent aux jeunes gens un petit choix de possibles. Ils pourront ainsi rencontrer quelques prétendants désignés à l'intérieur d'un groupe religieux, social ou racial, afin que le sentiment d'appartenance soit préservé. Le lien entre les générations sera renforcé par le respect des anciens, l'acceptation de leurs valeurs et l'aide affective et matérielle qu'ils en recevront en retour.

L'aiguillage entre ces deux stratégies sociales du couple se fera par le contexte. Quand l'aventure de l'autonomie est difficile, l'appartenance à un groupe prend un effet sécurisant. Il indique la voie à suivre et le lot des partenaires sexuels parmi lesquels il convient de choisir. Mais quand le contexte social s'améliore, quand le travail est facile, le logement accessible et la morale tolérante, le poids parental devient une entrave à la poursuite de l'épanouissement du jeune. Ce paradoxe n'est pas une contradiction puisque l'on a appris que l'affection parentale constitue une base de sécurité qui donne au jeune la force de sortir du cocon familial. Dans un contexte social aisé, le conflit devient un espoir libérateur. Dans une société difficile, on se soumet avec bonheur au groupe familial, on s'y réfugie, il nous sécurise et nous tutorise. Mais, dans une civilisation tolérante, la famille qui donne au jeune la force de partir prend un effet d'entrave si elle n'est pas relayée par une communauté accueillante.


Boris Cyrulnik

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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 15:55
smilessmilessmilessmileshttp://image.jeuxvideo.com/images/wi/d/r/dragon-ball-revenge-of-king-piccolo-wii-026.jpgsmilessmilessmilessmiles
Le pardon
  smilessmilessmilessmiles

 

bleuEt si avant de se venger, on pensait à pardonner!!!
"Pardonner ça !!! À cette personne? Plutôt crever tiens!!"
J'ai souvent entendu et pensé cette phrase. 
Puis la vie continue et le matin quand on se réveille on pense à l'autre crétin(e) qui "nous a fait ça"!!! 
bleu"Regarder passer le cadavre"!!! On n'y pense même pas! Seulement c'est lourd cette histoire et mine de rien elle revient sans cesse dans mon esprit et c'est moi qu'elle mine!!! 
Si je pouvais oublier, mais pardonner... pas question!!!! 
Et le temps passe et quand j'y pense tout mon corps se tend, parfois
bleuj'en transpire, j'en ai même des crampes dans le ventre!!!! 
Sans que je m'en rende compte je suis en train de me gâter la vie à petites doses parce que QUOI ? ..ON... m'a fait ça ....à MOI !!! 

Et alors qui es-tu donc pour que ON te fasse ça à TOI ? 

As-tu pensé que ON avait peut-être des raisons de faire cela, as-tu bleupensé que peut-être pas une seconde ON ne voulait te nuire, et puis es-tu allé discuter avec ON pour savoir le pourquoi du comment? 
 

Bien sur que non, je n'ai pas fait tout ça et je me cramponne à mon orgueil et à mon mal-être et mon mal de ventre. bleu
Je raconte autour de moi.. par politesse je suis entendu mais la plupart s'en fichent. Ce n'est pas leur problème !! 

Tiens !!!!... en voici un qui me dit que je devrais pardonner. Je ris mais il insiste et me démontre que c'est surtout moi qui ne suis pas à l'aise. Il a raison en plus!! Alors que dois-je faire pour pardonner ? bleu
Il m'explique qu'en relativisant, je peux m'apercevoir que ce n'est pas si grave! Après tout qu'est-ce qui est grave dans ce monde sinon ce qui meurt car on ressent un manque, mais après cela. C'est toujours l'orgueil qui se met en travers et qui n'accepte pas!!!
Alors il m'explique que je dois laisser aller, me fondre dans mes resserrementsbleu de ventre,http://a31.idata.over-blog.com/300x300/2/41/91/53/bonne-soiree.jpg me liquéfier dans mon mal être, le laisser sortir de moi et dire par la pensée à ce ON que je lui pardonne!!! 
En faisant cela je sens mon corps qui se dilate, je sens le sang qui coule dans mes veines et une impression de vie s'empare de moi... je revis.bleu
Et en même temps je ressens un grand sentiment d'amour pour ce ON car il n'est pas si terrible que ça!!! ...En fait je suis en train de me réconcilier avec la partie de moi qui s'était séparée du reste...


en remerciant un anonyme du net

smilessmilessmilessmileshttp://www.cours.fse.ulaval.ca/ten-20727/sitesdescours/000_14ete2004/Poesie/nuagesyahoo.jpgsmilessmilessmilessmiles
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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 10:15

La persévérance et la régularité sont les principes de base de toutes les voies spirituelles et méditatives. En d'autres termes, vous "deviendrez" un jour ce que vous pratiquez avec le plus d'assiduité. Vous stressez facilement dès que les choses ne tournent pas rond? Vous déclenchez les hostilités à la moindre critique? Vous ne supportez pas la contradiction? Face aux difficultés, vous laissez grossir votre "boule de neige" mentale? Vous considérez l'existence comme un parcours du combattant? Alors, c'est regrettable... votre parcours deviendra peu à peu le reflet quasi exact de vos habitudes négatives. A force d'être hypocondriaque on finit par tomber vraiment malade... et y voir un lien, en plus!!!

Bien sûr, il ne s'agit pas, par contraste, de transformer notre vie en un paradis blanc où nous volerions de succès en lustrations, purs et irréprochables.
(Ça, c'est la phrase pour les agents anti-âge d'or aux procès en "zéni-lénitude"...)
Nous savons que la perfection n'existe pas. Pour autant, restons vigilants. Surveillons nos faits et gestes quotidiens, car ils ont un impact Namaste...नमस्तेsur notre état d'esprit. Quels sujets occupent régulièrement nos réflexions? A quoi consacrons-nous notre temps libre?
Cultivez-vous des habitudes qui sont en concordance avec vos desseins intimes? Votre mode de vie est-il en harmonie avec ce que vous prétendez attendre de l'existence?
Le seul fait de se poser ces questions capitales, et d'y répondre sincèrement, aide à déterminer quelles stratégies vous seront le plus profitables. Vous vous dites souvent: "J'aimerais avoir deux heures à moi tous les soirs" ou "J'ai toujours smiley_0568.gifvoulu apprendre la méditation mais je n'ai pas une minute de libre"? C'est ainsi: les gens passent plus de temps à laver leur voiture ou à ingurgiter des rediffusions soporifiques à la télé qu'ils n'en consacrent à des activités vraiment épanouissantes.
Il faut gardez à l'esprit que, parmi toutes nos identifications, l'on est toujours un petit peu ce que l'on fait: vous aurez peut-être plus à coeur de changer certaines de vos habitudes.


D'après R. Carlson

http://us.123rf.com/400wm/400/400/shooarts/shooarts1107/shooarts110700196/10101242-abstract-blue-pattern-mandala-of-vishuddha-chakra-vector.jpg
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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 23:03



Nous renvoyons toujours notre bonheur à plus tard. Inconsciemment sans doute, nous essayons de nous convaincre que
"un jour, je serai heureux".
Oui, promis, juré, quand toutes les factures seront payées et les hypothèques levées, quand nous aurons fini nos études, décroché notre premier emploi ou une promotion, oui, alors nous serons heureux! Pas de doute, la vie sera plus belle quand nous serons mariés, quand nous aurons un enfant, peut-être un deuxième. Ensuite nous nous plaignons que nos chérubins sont trop envahissants, pas assez autonomes -nous attendrons donc qu'ils aient l'âge de raison... Puis on s'arrache les cheveux pendant toute leur adolescence, impatients de les voir sortir de cette période ingrate. C'est décidé, cochon qui s'en dédit, notre vie sera enfin sur des rails quand notre femme/mari aura fini sa thèse de doctorat, ou quand nous aurons une voiture neuve, ou quand nous pourrons prendre des vacances au bord de la mer, ou quand nous aurons maigri, ou quand nous partirons à la retraite. Et ainsi de suite!
Pendant ce temps, la vie continue, le temps passe. Croyez-moi, il n'y asmiley_id172957 pas meilleur moment pour être heureux que le présent. Si ce n'est pas aujourd'hui, alors quand? La vie sera toujours pleine de nouveaux défis à surmonter. Mieux vaut l'admettre sans tarder et s'efforcer d'être heureux malgré tout. J'aime beaucoup cette citation d'Alfred D'Souza:
"Longtemps j'ai cru que ma vie allait bientôt démarrer -la vraie vie. Mais chaque fois un nouvel obstacle se présentait sur ma route, une priorité à régler,
http://a6.vox.com/6a00e398b899930004011017abfb3e860e-500piune affaire en cours, une dette à payer. La vie commencerait après. Et puis un beau jour, je me suis rendu compte que ces obstacles étaient ma vie."
Cet éclairage m'a permis de comprendre qu'il n'y avait pas à proprement parler de chemin vers le bonheur.

Le bonheur est le chemin.
R. Carlson

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22 mars 2009 7 22 /03 /mars /2009 19:03
Quand et comment "utiliser" le K'i?

Ces deux questions ne devraient théoriquement pas avoir lieu d'être, car, en se répandant dans notre organisme à tout moment, le K'i de l'univers apporte et entretient la vie, instaurant de fait l'équilibre et l'harmonie. L'oxygène ainsi généré renforce et anime nos organes, stimule nos fonctions et rend notre corps dans sa totalité opérationnel à son plus haut niveau.
fleurs_155.gifKoichi Tohei résume fort bien cet "état idéal" de la plus naturelle des manières lorsqu'il affirme: Un être humain est un segment du K'i de l'univers entouré par un corps.
Cette formule, outre sa clarté et sa brièveté, a le mérite de situer où nous nous trouvons dans l'organisation du monde, c'est-à-dire au coeur des forces vitales qui génèrent la vie. Mais, surtout, elle définit on ne peut plus clairement notre "potentiel de vitalité", qui se révèle être considérable puisqu'il procède directement de cette énergie universelle qui régit tout ce qui existe.*
Il ne reste plus, dès lors, qu'à entretenir et étendre le K'i en nous, pour prétendre "naturellement" à une santé optimale: (...) vous pouvez demeurer vigoureux et sain en étendant le K'i. Quand vous êtes malade, votre extension du K'i devient faible. La force vitale devient énervée et la maladie empire et se prolonge. (...) Si vous gardez un esprit fort qui étend le K'i, votre pouvoir vital guérit la maladie rapidement.
fleurs_155.gifCes quelques mots pourraient paraître anodins s'ils ne soulignaient en fait une donnée fondamentale de notre corps. Ainsi, notre capacité à activer à tout moment notre pouvoir vital personnel - qui nous vient du K'i universel - se révèle être curative au plus haut degré sans que nous ayons besoin d'une quelconque intervention extérieure!
Cela veut dire que nous avons à notre disposition, en permanence, un pouvoir naturel de guérison pouvant s'exprimer à tout instant dès lors qu'un dysfonctionnement apparaît ou qu'un mal se présente. C'est à chacun de nous de gérer son propre équilibre intérieur, en insufflant une dynamique appropriée à notre K'i personnel plutôt qu'en nous plaçant en état de dépendance vis-à-vis d'autres personnes- aussi compétentes soient-elles -ou de produits médicamenteux aux effets inconnus.
fleurs_155.gifLa grande leçon qui nous a été transmise par les Anciens est que l'homme et le maître de son équilibre, de sa trajectoire, de  sa destinée...et donc, au premier degré, de sa santé: personne ne peut mieux influer sur le savant et subtil équilibre qui doit exister entre le K'i de l'univers et votre K'i personnel que vous-mêmes!
Voilà sans doute l'une des toutes premières notions qu'il faudrait inculquer aux êtres humains, tous peuples, toutes nationalités et toutes origines confondus, plutôt que les encourager à utiliser l'automédication de pilules pour être en forme ou garder le moral dès qu'ils se sentent en rupture d'harmonie interne.


B. Baudouin
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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 23:03
Je suis toujours peinée de voir avec quelle réticence smiley_0440.gifnous accueillons les conseils de notre entourage -de nos parents, conjoint, enfants ou amis. Au lieu de prêter une oreille attentive, nous nous refermons comme une huître, par embarras sans doute, par peur aussi, mais surtout... par orgueil. Tout se passe comme si nous nous disions:
"Depuis le temps qu'on se fréquente, Untel n'a plus rien à m'apprendre."
Et pourtant les personnes les plus proches sont aussi celles qui pourraient nous donner les avis les plus pertinents. smiley_0403.gifElles sont parfois capables de déceler certains de nos comportements négatifs et de nous suggérer des solutions adaptées. Par entêtement ou par fierté mal placée, nous risquons de passer à côté de recettes simples, susceptibles d'améliorer notre existence.
En ce qui me concerne, je m'efforce de rester ouverte aux suggestions de mes proches. Je vais même jusqu'à demander à certains membres de ma famille ou à quelques amis intimes:
- Dis-moi, quels sont mes défauts, mes préjugés?
bah il est vrai que certains, un peu mesquins en profitent
 pour quelque réglement de compte douteux
(jalousie, attentes personnelles illégitimes...), c'est le risque aussi...
http://www.faidutti.com/smileyface/smileys/smiley03.jpgMais, ...non seulement vous placez la personne interrogée dans une position flatteuse, mais vous finissez toujours par récolter un avis précieux. C'est là un raccourci formidable  vers une plus grande maturité, et pourtant presque personne ne l'emprunte. Il vous faudra certes un peu de courage et d'humilité pour vous lancer dans cette voie, surtout que ceux qui vous connaissent seront surpris dans un premier temps...
et qu'en plus vous avez naturellement tendance à confondre recommandations et critiques, ou à ne jamais écouter certains membres de votre famille. Imaginez leur
surprise quand vous allez leur demander leur opinion, en toute sincérité.
 
Choisissez un sujet pour lequel votre "conseiller" est qualifié. Par exemple, je demande régulièrement des conseils d'ordre financier à ma mère ou à mon père. Et même s'ils me sermonnent un peu, je ne le regrette jamais. Un petit sermon vaut mieux qu'une grosse déconvenue...
d'après R. Carlson
proposé par mamadomi
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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 05:03


Oh, des pensées négatives


On estime qu'un cerveau humain produit quelque 50 000 pensées par jour. [
qui a compté?] Une véritable usine! Certaines de ces pensées seront positives et créatives. Malheureusement, une bonne part sera entachée de colère, de peur, de pessimisme, de mélancolie, etc... Lorsqu'on vise la paix intérieure, la question n'est pas de savoir si on va ou non avoir de mauvaises pensées
-on en aura!- mais de savoir qu'en faire.Clipart image animé medecin docteur chirurgien
Au fond, il n'y a que deux possibilités. Ou bien analyser ces élucubrations négatives (en les triturant au scalpel) ou choisir de les ignorer (en les écartant d'une pichenette). Cette seconde option se révèle infiniment plus profitable.
Quand une pensée éclôt dans notre esprit -bonne ou mauvaise, elle n'est encore qu'une pensée! Autrement dit, elle ne peut nous faire aucun mal sans notre consentement. Par exemple, si notre passé évoque en nous ce genre de réflexion:
"J'en veux à mes parents parce qu'ils ne m'ont pas bien élevé",
on peut se la ressasser ad nauseam, mais il faut savoir que ruminer sera source d'un tourment intérieur. On va donner du poids à cette idée, la légitimer, jusqu'à se persuader d'une sorte de prédestination au malheur. Inversement, on peut prendre conscience que notre esprit s'apprête à fabriquer une "boule de neige" mentale, et préférer la repousser du revers de la main. Cela ne signifie pas que notre enfance n'ait pas été difficile -c'est très possible- mais dans l'instant présent, nous avons la faculté de choisir quelle pensée va siéger dans notre esprit.
Le même schéma s'applique aux pensées que nous avons eues ce matin, ou à celles qui nous occupaient il y a cinq minutes. Une dispute survenue au moment où on quittait la maison, n'est déjà qu'un souvenir dans notre esprit. Agir de la même façon avec les anticipations et les appréhensions
-la soirée, la semaine prochaine ou les dix ans à venir, tout cela appartient encore au futur. Dans tous les cas, si on ferme la porte à une pensée négative, une autre plus agréable ne va pas tarder à la remplacer. Cette méthode exige un peu d'entraînement, mais le jeu en vaut la chandelle.

d'après R. Carlson
proposé par mamadomi
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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 10:43

http://soleilimg1.free.fr/gifs/lignes/1couleur/line1101.gif
 
De nombreux problèmes sont liés au stress, notamment une habitude qui m'apparaît aussi néfaste que répandue: celle qui nous pousse à focaliser sur ce que nous voulons plutôt que sur ce que nous avons. Peu importe d'ailleurs l'opulence de cette dernière catégorie, et bien sûr s'il est indéniable qu'il y a une limite de nécessité et de dignité, nombreux sommes nous à pouvoir légitimement nous considérer comme chanceux ou servis correctement, en tous cas à pouvoir relativiser quelque peu. Or, nous étendons sans cesse la liste de nos appétits, nous condamnant ainsi à la frustration perpétuelle.
http://www.drjeanetteraymond.com/images/pushing%20face%20into%20sand%20frustration.gif
     Car, soyez-en persuadé, la forme de logique qui vous fait dire "je serai heureux lorsque j'aurai telle ou telle chose" se répétera de façon identique, mais avec un autre objet, dès l'instant où le voeu précédent se trouvera comblé.smiley_0513.gif
Un de nos amis vient d'acquérir une superbe maison.
Le jour où nous sommes allés le voir dans ses murs, il nous parlait déjà de sa prochaine demeure qui, disait-il, serait "plus grande".
Il n'est pas le seul dans ce cas.
On peut même avancer que nous en sommes tous là: si nous n'obtenons pas ce que nous voulons, nous nous lamentons sur tout ce qui nous manque; et si nous l'obtenons, nous n'avons rien de plus pressé que de nous inventer un nouveau besoin. Ainsi, bien que satisfaits à répétition, nous restons malheureux.
Car le bonheur fuit celui qui ne pense qu'à assouvir
des désirs toujours renaissants.
http://dl6.glitter-graphics.net/pub/732/732966emv4i8o88n.gifIl y a pourtant une voie qui mène au bonheur. Elle se soucie moins de nos manques et réhabilite ce que nous avons sous la main. Plutôt que d'espérer changer le caractère de votre femme, pensez à ses qualités. (ben quoi, si, on en a tous, pourquoi l'auriez-vous épousée sinon...èh!)
Au lieu de vous plaindre de votre maigre salaire (ben quoi un mi-temps au smic c'est cool par les temps qui courent, non? ...-non), réjouissez-vous d'avoir un travail. (oui je sais elle est dure celle-là, mais tout de même, pensez aux chômeurs des dom tom par ex...) Ne rêvez plus de vacances à Tahiti, souvenez-vous comme vous vous êtes bien amusés près de chez vous (et puis bonjour le bilan-carbone). La liste est infinie!
Chaque fois que vous vous surprenez à basculer dans le piège du "je voudrais changer de vie", rattrapez-vous par la manche. Inspirez profondément et remerciez le ciel  (ou qui de droit!) de ce qu'il vous a déjà offert. Croyez-moi: quand on se concentre sur ce qu'on a plutôt que sur ce qui manque, on finit toujours par avoir + qu'on voulait! Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit(comment ça n'importe quoi?!!!) Si vous mettez en relief les qualités de votre mari, (si si lui aussi il en a, vous seriez partie depuis longtemps sinon...) il vous en aimera smiley_0408.gifdavantage, votre union sera plus solide. Si vous appréciez votre travail au lieu de râler, vous serez + productif (productif, c'est quoi ça?!!!!)... et vous finirez par avoir une augmentation qui sait (héhé, genre O,05€/h)! Si vous profitez des distractions près de chez vous au lieu d'attendre les plages du Pacifique, vous vous amuserez plus souvent!
Et si vous allez un jour à Tahiti, vous y arriverez en meilleure forme..!!!
Faites un noeud à votre mouchoir ou collez une note sur la porte de votre frigo pour http://idata.over-blog.com/0/06/12/65/mouch3a.gifne surtout pas oublier ceci: mieux vaut penser à ce qu'on a plutôt qu'à ce qui nous manque. Votre vie vous paraîtra + belle ainsi. Et, qui sait, vous éprouverez peut-être, pour la 1ère fois, un sentiment  de ...pleine satisfaction...
bon,
http://lalystar34.blogvie.com/files/2011/03/barbie-vieille.jpg
de toutes façons c'est mieux contre le vieillissement d'arrêter de tirer la tronche...
- j'aime pas la soupe...
- mange-là quand-même!!!
quoi c'est toujours mieux que d'avoir le ventre qui gargouille, allons...


R.Carlson
http://soleilimg1.free.fr/gifs/lignes/1couleur/line1101.gif

proposé par mamadomi
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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 09:48

 
...dans nos projets...


L
orsque j'ai un projet en tête, il m'est assez difficile d'y renoncer sans broncher. J'ai grandi avec l'idée -respectable dans une certaine mesure- que la réussite était fille de persévérance
. Mais d'un autre côté, une trop grande rigidité génèrsmiley_0328.gife un stress important. Elle devient source d'irritation et d'insensibilité à l'égard des autres.
J'aime écrire aux petites heures du matin. Je me fixe comme but de rédiger un ou
smiley_0350.gifdeux billets avant que la maisonnée s'éveille. Mais que se passe-t-il si ma fille cadette (bientôt cinq ans) ouvre les yeux plus tôt que prévu et vient me voir dans ma tanière? Mon programme tombe dans la Somme. Comment dois-je réagir? (pas?) Imaginons par ailleurs que vous ayez prévu un jogging avant de vous rendre au bureau. Que faire si un appel urgent vous oblige à avancer votre départ?
Nous pourrions tous fournir une multitude d'exemples de ce type. Vos projets
changent subitement, une personne n'a pas tenu sa promesse, vous avez gagné moins d'argent qu'escompté
70, on a modifié votre emploi du temps sans vous consulter, votre ordinateur tombe en panne, vous avez manqué votre train, etc... Vous ne devez alors vous poser qu'une question: " Qu'est-ce qui est le plus important?"
Pour justifier notre humeur massacrante, nous répondons qu'il est normal de nous sentir contrariés quand nos projets tombent à l'eau.Tout dépend, cependant, des priorités que nous nous sommes fixées. Est-il plus important de me plier au carcan de mon agenda ou de consacrer un peu de temps à ma fille? Se priver d'un jogging de trente minutes vaut-il vraiment la peine de me mettre en rogne? La question de fond est la suivante: "Qu'est-ce qui compte le plus: se fixer un cap et ne jamais en démordre ou bien apprendre à nager dans le sens du courant?" Si vous aspirez au calme, vous devez choisir en priorité la flexibilité par opposition à la rigidité (même s'il peut y avoir des exceptions). J'ai appris aussi qu'il n'était pas inutilesmiley_0321.gif de prévoir un certain pourcentage de "ratés" dans mes projets. Si je leur fais une place dans mon esprit, je pourrai les accueillir avec plus de fatalisme: "C'est la vie, on n'y peut rien."
Si vous choisissez la voie de la souplesse, les résultats ne se feront pas attendre: vous allez vous sentir plus détendu, sans pour autant sacrifier votre productivité. (c'est quoi ça?!!) Vous risquez même de devenir plus créatif puisque vous n'aurez plus besoin de dépenser tant d'énergie à vous inquiéter ("Vais-je tenir mon calendrier?") ou à vous énerver ("A cause de ce connard, cet abruti ... énergumène, je vais être en retard").
J'ai appris à ne plus me ronger les sangs: même contrainte de modifier mes plans, je parviens à peu près à respecter mes échéances, à réaliser la plupart de mes objectifs et à honorer mes responsabilités autant que possible. Bon. Ya encore du travail, mais ça vient...
Autre avantage insigne: les gens autour de vous seront eux aussi plus détendus. Ils ne se croiront plus obligés de vous approcher en marchant sur des oeufs lorsque, par aventure, vos plans auront été chamboulés.
aparté : n'empêche faudrait voir à ce que ça se répète pas trop souvent!!!! lol

proposé par R. Carlson et mamadomi
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