Sans cette priorité, il ne peut s'établir de communication de qualité, enrichissante pour tous.
Prendre en compte le back ground de l'interlocuteur, le message qu'il essaie de transmettre, les valeurs qui importent à ses yeux, etc.., après, aucun mal à se faire comprendre: cela se met en place naturellement, presque sans effort, comme une conséquence logique.
En revanche, si on inverse le processus (et c'est malheureusement ainsi que nous procédons la plupart du temps), on met la charrue avant les boeufs.
En effet, exiger d'être compris avant même de comprendre - vous pouvez voir chez miteny pour ce type de comportement, c'est exercer une forme de pression sur la conversation. Pression qui sera ressentie par soi et par la personne qu'on essaye d'atteindre. Entamée sur de mauvaises bases, la communication a de fortes chances de tourner à une bataille d'egos.
La solution est relativement simple, plutôt que de se retrancher derrière des barricades, il faut d'abord chercher à comprendre. Ca n'a rien à voir avec déterminer "qui a tort et qui a raison" :
c'est une véritable philosophie de la communication efficace. En adoptant cette méthode, on remarque que nos interlocuteurs se sentent écoutés, donc entendus et finalement compris.
Chercher à comprendre avant de de faire passer un message.
Avez-vous déjà testé?
rééd° du 18 09 08