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Oscar 2012 dans la catégorie du 
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pour "Saving Face":la réalisatrice pakistanaise
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Cap à citer

earth hour
 Samedi 29/03/14:
20h30/21h30
 ...merci à tous 
www.earthhour.be.
le 23/03/2013
on a aussi éteint les lumières!
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Tunisie-drapeau.jpg

Pour une Tunisie et une Egypte
libres & démocratiques
calligraphie
bravo aux Lybiens, ya du travail encore...:

 courage aussi aux Yéménites, avec la révolution des femmes:

Drapeau du Yémen
...aux Syriens, qui paient cher:
aux Maliens, en proie au mal anti-éducation qui fait le lit de toutes les dominations:
et, que partout où
la liberté est bafouée,
la révolution se propage:
Algérie,Bahrein,Burkina Faso,Chine,
Djibouti,Haïti,Irak,Iran,Japon, 
Jordanie,Kenya,Koweit,Liban, 
Maroc,Mauritanie,Nigeria,Oman,
Palestine et Israël,Somalie,Soudan 
 ...France!
...Ukraine qui choisit des valeurs de démocratie dans le rapprochement à l'Europe, au détriment d'avantages économiques à rester liée à la Russie! Avec les risques extrémistes que ça comporte...
Thaïlande...
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l'origine du  mot  bug
Severn, la voix de nos enfants
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de notre ami Vladimir Vodarevski
ZEM apprenti maître zen
ici

cannabis, attention quand même...
dangers, alerte, qlqs infos
chez cardamome
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lettre ouverte d'un gendarme au président
de la république M. Hollande:

Couches Absorbées

Caplibreurs et surfeurs

Blog animé depuis bientôt 7ans

792 000 visites au 13 jan 2015
merci à tous et à toutes
...pour tous vos commentaires:
le 55 000ème, mercredi 5 nov 2014
déposé par:
bouquet rose et mauve
MERCI DE VOTRE VISITE

Je m'insurge!

Hommage à Stephane Hessel, récemment il avait subi la censure pour s'être exprimé contre les choix du gouvernement israëlien à l'encontre du peuple palestinien

 

ici, extrait de son indignation chez Taddeï

ses voeux de résistance 2011

en savoir plus à la fin de cette page en clic

******************************************************************************

L'homme que vous voyez sur la photo n'est pas un 'Black Block' ni un misérable retraité. C'est Manolis Glezos qui en 1941, sous l'occupation nazie, est monté sur l'Acropole et a retiré le symbole nazi, la croix gammée. Qui est-il?
 
Manolis Glezos Manolis Glezos
70 ans + tard des personnes en uniforme, serviteurs des banques, qui ne mériteraient même pas de lécher ses chaussures, ont l'audace de lever la main sur lui...
Ceux qui ne comprennent pas que nous voyons monter une nouvelle forme de fascisme financier devraient y réfléchir à deux fois.
 Un lien chez bernard

******************************************************************************

Suite aux pétitions de demande de soutien qui circulent:


Je déclare ne soutenir Eric Zemmour dans son combat pour la liberté d’expression qu'avec la réserve qui s'impose en regard du commerce qu'il fait de son impertinence dans sa posture d'opposition fanatique à ce qu'il appelle la pensée unique, opposition massive qui n'est qu'un grand fourre-tout de toutes les transgressions délétères par l'incitation à décomplexer toute forme de propos, de posture et d'investigation raciste.

Le poids de la parole publique enjoint une responsabilité et une prudence éthique qui, de toute évidence, lui pèsent dans son fantasme de toute puissance infantile tellement patent.

Ainsi, je NE CONDAMNE PAS LES PLAINTES ET PROCES QUI LUI SONT FAITS, NI LES CAMPAGNES DE SENSIBILISATION CONTRE SES EXCES ET SES FRANCHISSEMENTS DE LIGNE. Les pressions et menaces dont il fait régulièrement l’objet, en revanche sont nulles et non avenues.
Vous pourrez vous informer sur la charte éthique professionnelle du journalisme sur ce lien, dont:
- Refuse et combat, comme contraire à son éthique professionnelle, toute confusion entre journalisme et communication
- Ne confond pas son rôle avec celui du policier ou du juge
- Respecte la dignité des personnes
- N’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée
- Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles/répond devant la justice des délits prévus par la loi
- tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, la déformation des faits, le mensonge, la manipulation, (...) pour les plus graves dérives professionnelles
http://obeissancecanine.free.fr/images/exercice1.gif
 vous pouvez commenter ici >> page blanche
18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 10:00

http://2.bp.blogspot.com/_Lhzc8S89uxE/Sxkq5OEivwI/AAAAAAAAAWw/SNb18M2_plM/s400/consumerisme.gif

Guy Evrard intervient dans des débats organisés sur les changements pour inciter à sortir d’un cadre de réflexion qui empêche d’aller au fond des choses:


Quels changements ?


[**] "La question climatique est désormais bien inscrite parmi les préoccupations politiques. Pourtant, les réponses à ce défi oscillent entre des plans très différents, dont la cohérence et les interactions demeurent peu articulées : engagements de réduction des émissions demandés aux États dans le cadre des négociations internationales, politiques publiques à l’échelle nationale, investissements structurels (transports, urbanisme…), écologie industrielle pour les entreprises, “écogestes” quotidiens demandés aux consommateurs et aux ménages, etc.

Le développement durable, devenu l’idéologie du XXIe siècle, est censé fournir spontanément la cohésion d’ensemble, sans que soient précisément réinterrogés les systèmes de valeurs, la primauté accordée à la croissance, le productivisme des sociétés, la confiance dans les progrès techniques ou encore l’importance de la consommation. Au-delà, les changements, qui selon les scientifiques sont nécessaires pour une durabilité du climat, apparaissent d’une ampleur telle que les chemins de transition sont encore largement à construire.

En particulier, la question climatique repose[…] la question des modes de vie. Dans les conférences climatiques et la négociation internationale, la dimension environnementale du changement climatique est partiellement occultée par la prédominance des mesures de performances énergétiques, tandis que les questions d’équité sont posées exclusivement dans le cadre Nord-Sud et la question des modes de vie n’est que frileusement abordée. Par ailleurs, un certain nombre d’acteurs estiment que c’est le capitalisme, voire la modernité, qui sont en cause.

On peut en outre se demander dans quelle mesure les obstacles aux politiques efficaces de lutte contre le risque climatique tiennent-ils au degré d’information des décideurs et des politiques, et/ou à la conscience de l’opinion publique ? Quelles sont les responsabilités respectives des scientifiques, des experts, des journalistes ?

Notre atelier entend mettre en commun ces réflexions menées trop souvent séparément. Il interrogera les changements à l’œuvre dans différentes sphères, leurs relations, leur bilan et leurs perspectives […]".

J’ai participé (Guy, pas moi hein!) en novembre à un atelier public organisé au CNRS, à Paris, par deux personnalités de l’enseignement et de la recherche, Amy Dahan, du Centre Alexandre Koyré [*], et Edwin Zaccaï, de l’Université libre de Bruxelles, sur le thème “Changements climatiques, changements de modes de vie ?” J’avais été attiré par la note de présentation[**] qui me semblait traduire la capacité d’aborder concrètement et dans toute leur complexité les nombreuses facettes des causes et des conséquences de la crise écologique et peut-être même la philosophie de nos sociétés. Une approche qui n’est pas étrangère à l’analyse que la GR s’efforce d’éclairer.

[*] Centre de recherche sur l’histoire des sciences et des techniques. Hébergé dans l’enceinte du Muséum national d’histoire naturelle, il associe des chercheurs et enseignants de cet organisme, du CNRS et de l’Ecole des Hautes Études en Sciences Sociales ainsi que la Cité des sciences et de l’industrie.

Cependant, l’évocation du “développement durable” comme “l’idéologie du XXIe siècle”, outre qu’elle reprend l’expression contradictoire (l’oxymore) mais admise par la communauté francophone, laisse planer aussi le parti pris d’une distanciation, certes propre à la démarche scientifique, mais dont on peut toujours craindre qu’elle marque une certaine hésitation à emprunter des voies non consensuelles sur un sujet éminemment politique, comme le texte le relève par ailleurs. Alors, quelles remarques en définitive ?

 

Nous n’entrerons pas ici dans le détail des exposés, au demeurant tous intéressants parce que les résultats de recherches scientifiques constituent toujours des données utiles à la réflexion.

La première session posait ces questions:
- Quels changements directs dans les comportements sociaux et de consommation sont espérés, enregistrés, prévisibles?
- Comment expliquer ces évolutions?
L’opinion et lesdits comportements sont analysés sur des individus considérés en tant que consommateurs et non comme citoyens. Il est donc admis implicitement que le modèle économique libéral est la référence unique, acceptée par tous et où les décisions d’achat ne s’inscrivent que dans une logique de consommation constamment renouvelée, ne reposant que sur des arbitrages entre les informations promotionnelles des marques et éventuellement les contraintes liées à l’organisation de la société. Il n’est pas envisagé que ce sont les citoyens qui décident de satisfaire seulementhttp://a33.idata.over-blog.com/1/15/01/45/Divers1/consommation_exister.gif des besoins réels, réfléchis à partir d’une analyse rationnelle, guidée davantage par des connaissances et des références culturelles ou idéologiques que par la publicité. Ces mêmes citoyens pouvant par ailleurs tenter de peser politiquement sur les orientations de la société. Il m’est donc apparu indispensable d’opposer et de défendre la conscience et l’action du citoyen responsable face au simple consumérisme, qui est finalement un procédé de lissage commode dans une telle analyse.

  http://stonetatara.free.fr/wp-content/uploads/banksy1.gif

La seconde session interrogeait:

- Comment les injonctions de changements en liaison avec les changements climatiques interfèrent-elles avec d’autres valeurs sociales et politiques fondamentales?

- Y a-t-il des synergies (le respect des contraintes écologiques favorise des valeurs de bien-être), des divergences (il suscite le renforcement d’inégalités sociales), incompatibilité (un gouvernement autoritaire est seul à même d’imposer de telles contraintes)?

http://www.neomansland.info/wp-content/uploads/idata.over-blog.com/0/53/11/31/2007-s13/flow-market.gifSuscitant davantage la réflexion philosophique, l’absence de dernière minute de Patrick Viveret fut sans doute regrettable. J’ai clairement perçu dans l’analyse des intervenants la difficulté d’imaginer un équilibre possible entre l’exercice des libertés individuelles et la nécessité de défendre l’intérêt général via un État et des structures démocratiques.

Comme si l’expérience désastreuse

des pays communistes

renvoyait définitivement au totalitarisme

toute idée de privilégier l’intérêt général.

J’ai donc fustigé cette crainte du débat démocratique et tenté de solliciter l’engagement philosophique: "Dominique Bourg (autre philosophe, non présent dans l’atelier) nous dit que l’économie de marché vise à satisfaire deshttp://www.terdav.com/terdav/images/charteados-01.gif besoins relatifs, par nature infinis (au sens de Keynes), sans se préoccuper des besoins absolus des hommes. Les philosophes peuvent-ils nous aider dans ce nécessaire débat pour les distinguer?" La réponse m’a renvoyé à la primauté du choix individuel, c’est-à-dire, dans le contexte libéral que nous connaissons, à la liberté du renard dans le poulailler.


La troisième session se proposait de débattre de la diffusion des savoirs:
- En quoi la diffusion des savoirs scientifiques et médiatiques influence-t-elle les changements?
- Comment analyser ses modalités, ses effets?
Cette fois, la mise en scène politique des critiques de la société qui va devoir gérer la crise globale devrait être au cœur du débat, mais c’est finalement pour constater que le traitement des données par les médias professionnels, aussi bien que la circulation des informations et des analyses sur Internet, n’ont qu’un impact lent sur la prise de conscience et privilégient l’émotion plutôt que l’analyse rationnelle.
L’apparente contradiction entre l’adhésion à l’idée de réformes
sur les choix énergétiques et le refus de la taxe carbone
est donnée en exemple.
Au mieux, lorsque l’analyse est plus élaborée et plus percutante sur Internet, elle est attribuée à une minorité agissante et non à la prise de conscience générale. Hervé Kempf, journaliste scientifique, notamment au Monde, et engagé par ailleurs à dénoncer le système capitaliste comme responsable de la crise, intervient dans le rôle du discutant. Il a beau jeu de rappeler que les médias sont, pour la plupart, inféodés au système capitaliste libéral, et se demande en fait quelle est réellement la question posée par leshttp://vazy-jetecrois.com/IMG/gif/Homo-Gaspillus-couleur.gif chercheurs. J’ai saisi alors l’occasion pour conclure ma propre perception du débat :
"À éluder depuis ce matin l’analyse politique sur les causes et les moyens de combattre le réchauffement climatique, vous passez à côté de la question. À refuser le débat, y compris au plan philosophique, entre liberté individuelle et intérêt collectif, vous passez encore à côté de la question".
Peut-être que pour un chercheur en sciences sociales, la distanciation que j’évoquais plus haut est-elle un obstacle difficile à surmonter avec les outils dont il dispose aujourd’hui. Engagement a cependant été pris, avec le sourire, d’aborder l’aspect politique dans un atelier ultérieur…

  http://blogsimages.skynet.be/images_v2/002/572/271/20070114/dyn003_original_408_196_gif_2572271_9826d41b82749fee8d6a08f2b48d7772.gif

La dernière session fut plus illustrative, en proposant quelques éléments de réponse aux questions:

- En quoi des changements “organisés” se sont-ils produits dans différents secteurs primordiaux tels que les entreprises, les villes, la mobilité?

- Quels bilans peut-on faire par rapport aux enjeux des changements climatiques?

- Quelles perspectives, quels facteurs déterminants?

Elle aurait pu susciter également un débat intéressant sur l’avenir des politiques territoriales, notamment en relation avec les réformes en gestation en France.

Mais l’heure avait sonné et la fatigue commençait à se faire sentir.

 

G. ÉVRARD, déc 2009
http://www.neomansland.info/wp-content/uploads/idata.over-blog.com/0/53/11/31/2007-s13/sustainable-innovation.gifhttp://www.neomansland.info/wp-content/uploads/idata.over-blog.com/0/53/11/31/2007-s13/sustainable-innovation.gifhttp://www.neomansland.info/wp-content/uploads/idata.over-blog.com/0/53/11/31/2007-s13/sustainable-innovation.gifhttp://www.neomansland.info/wp-content/uploads/idata.over-blog.com/0/53/11/31/2007-s13/sustainable-innovation.gifhttp://www.neomansland.info/wp-content/uploads/idata.over-blog.com/0/53/11/31/2007-s13/sustainable-innovation.gif
proposé par mamadomi 
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commentaires

M
<br /> -->> "langsam aber sicher"... lentement mais sûrement... :o))<br /> de grains de sable en grains de sable...<br /> doux bisous à toi<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Il va falloir du temps pour faire changer les choses, mais ça vient !<br /> <br /> <br />
Répondre
M
<br /> -->> héhé, qu'une vie consciente, imagine si on se souvenait des précédentes... lol<br /> bisous<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> salut<br /> beaucoup de sujets abordés<br /> pas évident de se concentrer sur tout car nous n'avons qu'une vie<br /> bonne soirée<br /> <br /> <br />
Répondre
E
<br /> On trouve tout et n'importe quoi quand on veut creuser un peu ces notions que je suis obligée d'enseigner à mes élèves. Cet été je dois retravailler mes programmes de 5e et de 2nde qui changent. La<br /> géographie s'inscrit maintenant entièrement dans cette notion de développement durable, que j'aborde sous le signe de la citoyenneté en Education Civique. Les manuels scolaires n'étant pas toujours<br /> bien fait, tu imagines aisément le nombre de recherches que je dois faire pour éduquer correctement mes élèves, les petits comme les grands.<br /> <br /> <br />
Répondre
M
<br /> ah oui alors un sacré tracas que d'harmoniser ses convictions et ses constats avec le lourd appareil éducatif... et ses nécessités...<br /> un sacré challenge... j'en vois tant perdre "la foi" du métier, la ferveur de transmettre, le sentiment d'accomplir une belle tâche...<br /> j'ai rarement trouvé de manuels scolaires qui me satisfassent en histoire comme en géographie, je trouve que c'est un dur exercice que d'en concevoir, mais vraiment ya des choix fort peu judicieux<br /> tout de même<br /> à croire que l'on n'a pas à coeur de développer le libre arbitre et qu'on tient à imprimer des conditionnements dociles ...<br /> ce sont des matières qui demandent un travail énorme, si l'on veut garder une éthique éducative et ne pas se renier non plus...<br /> franchement je te félicite de garder ça à l'esprit et d'actualiser cette vision de l'éducation à la circonspection et à la différenciation entre valeurs et faits...<br /> et surtout en ce moment, où l'on voit le retour en force des arguments d'antiquités, des pétitions de principe, et des appels à la moralisation en guise de débat ou d'enseignement...<br /> c'est fatigant parfois...<br /> et parfois, me disait ma cousine, on a l'impression d'éduquer les parents au travers des enfants,  ceux-ci tenant pour vrai des contrevérités assénées par leur proche entourage, c'est un lourd<br /> travail...<br /> <br /> <br />