Cet automne 2009, J.-J. Crèvecoeur a pris le risque de faire des prédictions alarmistes et alarmantes -vous pouvez relire ses courriels ici http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=65&Itemid=98. Certains le lui ont reproché, disant que la catastrophe sanitaire et l’hécatombe annoncées n’avaient pas eu lieu. Une campagne de vaccination obligatoire avait aussi été annoncé qui, finalement, n’a eu lieu nulle part. (...) "...L’impression de se retrouver dans la position du prophète Daniel qui se plaignait auprès de Dieu qu’il était ridiculisé par le peuple, parce qu’aucune des prédictions apocalyptiques qu’il prophétisait ne se réalisait. À cela Dieu lui répondit que c’est parce que lui, Daniel, avait alerté le peuple, qu’un changement de mentalités et d’attitudes avait pu se produire, évitant par la même occasion les malheurs qui auraient dû normalement survenir. Bien sûr, je ne me prends ni pour un prophète, ni pour un sauveur et je n’ai pas ce privilège autoproclamé d’être en communication avec Dieu. Mais je trouve l’histoire analogiquement intéressante. Quelques dizaines de personnes se sont placées au premier rang de la contestation, relayées par des centaines de gestionnaires de sites Internet et des milliers de thérapeutes, relayées également par des centaines de milliers d’anonymes. Si nous n’avions pas exposé au grand jour les projets de vaccination obligatoire des populations, aucune réaction ne se serait manifestée et la population aurait été prise au dépourvu, poussée dans ces immenses centres de vaccination de masse, comme on pousse du bétail vers l’abattoir. Donc, oui, heureusement que nous avons dénoncé ce plan de vaccination de masse et que nous en avons apporté les preuves. Sinon, il est plus que probable qu'il se serait bien réalisé.
Quant à la catastrophe sanitaire annoncée, c’est, malheureusement, trop tôt pour faire l’évaluation. À en croire les médias dominants, il n’y a quasi aucun problème à la suite de cette vaccination qui a touché des millions de personnes. Et on nous assure (avant même d’avoir fait une évaluation sérieuse) que les quelques problèmes rapportés n’ont aucun lien prouvé avec la vaccination. Tout va donc très bien dans le meilleur des mondes. Un optimisme hypocrite et criminel. À ce sujet, je vous invite à lire un témoignage reçu récemment, d’une correspondante qui travaille comme technicienne en pharmacie dans un hôpital québécois. Ce témoignage, écrit trois mois à peine après la vaccination du personnel médical, est édifiant. "Je travaille dans un hôpital en tant que technicienne en pharmacie depuis 2008. Après votre passage à LCN (chaîne de TV québécoise, ndlr), j'ai décidé de faire mes recherches au sujet du vaccin sachant que je serais sûrement dans les premières vaccinées. Ce que j'y ai découvert m'a dissuadée de me faire vacciner. J'en ai parlé à mes collègues de travail pour les avertir du danger. Après m'avoir écoutée attentivement, ils ont couru se faire vacciner par peur de la grippette! Et ce, même si nous avions eu beaucoup de cas aux urgences durant l'été et qu'une seule des techniciennes avait été malade (et peu malade)!
Aujourd'hui (4 janvier 2010), nous ne sommes qu'une petite poignée à avoir refusé cette vaccination. Et aucun d'entre nous n'a été malade ou est présentement malade. Nous nous portons à merveille, à part la fatigue du temps des fêtes bien sûr! Le problème est plutôt dû au fait qu'au moins la moitié des 'vaccinés' ont présentement des problèmes. Plusieurs toussent sans cesse, ont des symptômes d'allures grippales, des maux de tête persistants, des douleurs aux dents, mal de ventre, de l'insomnie... Une de mes collègues de travail, qui a déjà souffert d'anémie dans le passé, a commencé à saigner sous les ongles des pouces et a perdu quatre ongles d'orteil! Bien sûr, personne ne soupçonne le vaccin! Je commence à surveiller plus attentivement l'état de mes collègues qui sont parmi les premiers vaccinés au Québec. À ma connaissance, nous sommes le premier hôpital à avoir reçu les vaccins -l’Arepanrix de GSK avec le 'maudit' squalène ASO3, bien indiqué sur la boîte, en plus du thimérosal."
Par ailleurs, le frère d’une de mes connaissances de la ville de Québec a vu sa petite fille de neuf mois mourir dans les quinze jours qui ont suivi sa vaccination, tandis que son fils de deux ans développait un urticaire géant qui nécessita une hospitalisation lourde. Depuis lors, cet enfant a une liste interminable d’aliments qu’il ne peut plus manger (allergies multiples).(...) Et je ne vous parle même pas des centaines de femmes enceintes qui ont fait des fausses couches dans les heures qui suivaient leur vaccination. Croyez-vous que les autorités de santé ont reconnu la responsabilité possible du vaccin dans cette affaire qui a frappé cette jeune famille? Croyez-vous que les médias se sont pressés à la porte du domicile des parents malheureux, comme ils l’ont fait, chaque fois qu'on suspectait un mort "de" la grippe H1N1? Absolument pas. Quand les morts pouvaient faire vendre les vaccins, les journalistes charognards se jetaient sur eux comme les vautours sur un cadavre en putréfaction. Mais quand les morts pourraient faire douter de la sécurité des vaccins, plus aucune de ces charognes n’est au rendez-vous pour avertir le public des dangers des vaccins.
Bref, pour revenir à la catastrophe sanitaire, je pense que nous y verrons plus clair dans un an. Ce 7 janvier, l’agence européenne du Médicament a fait ses aveux, l’hécatombe que nous avions annoncée est bien en train de se produire. Quand je vous répète qu’on nous ment et qu’on se paie notre tête, les gouvernements nous tuent, de sang-froid, dans l’indifférence générale,
En réalité, je crains que le nombre de malades de toutes sortes n’atteigne au moins 50 % du nombre des vaccinés. Je rappelle, si besoin en était, que ce sont 25 % des 730.000 GI’s vaccinés contre l’anthrax, avec un vaccin contenant du squalène, qui ont connu ce qu’on appelle le ►syndrome de la Guerre du Golfe, dans les mois qui suivirent la vaccination. Ce syndrome se caractérise par des troubles du système nerveux (fatigue chronique, troubles musculaires et articulaires, problèmes de mémoire, cancers du cerveau), par l'émergence de maladies auto-immunes (sclérose latérale amyotrophique, fibromyalgie) et par des troubles sévères de la reproduction (baisse de fertillité, malformation congénitale chez un pourcentage élevé des enfants, etc.). Je rappelle aussi que 19 ans après cette première guerre du Golfe, plus de 450.000 GI’s (âgés en moyenne de 39 ans) sont retraités pour cause de problèmes de santé !!! Normalement, on ne s’attend pas à un tel pourcentage de malades (60 %) chez des gens aussi jeunes, qui sont atteints au point d’être payés par le gouvernement pour ne plus rien faire ! Ce qu’ils avaient en commun ? ... on en pensera ce qu'on voudra de cette co-incidence: deux injections de dix vaccins différents reçus dans un intervalle de trois semaines, dont un vaccin contenant du squalène. Le même squalène dont nos gouvernements nous ont fait cadeau en cette fin d’année 2009. article consacré au squalène:
un lien ici aussi concernant le squalène adjuvant et les résultats déjà constatés sur les premiers cobayes humains que sont les soldats Toujours à propos de catastrophe sanitaire, nous y verrons aussi plus clair dans deux à trois ans. Nous ne savons pas à quoi nous attendre concernant les bébés conçus par des parents vaccinés qui sont venus ou arrive au monde, on craint un nombre significativement important de malformations, de handicaps, de dégénérescences cérébrales ou organiques... À moins que nous ne découvrions une épidémie de stérilité chez les hommes
et les femmes qui auront eu l’imprudence de se faire vacciner, sous la sollicitation médiatique assidue. Osera-t-on incriminer notre bon vaccin au squalène, puisque les tests cliniques préalables à l’autorisation de mise en marché n’ont démontré aucun impact sur la stérilité?
Argument complètement fallacieux, quand on sait que ces tests cliniques sont menés sur une période de quelques semaines, alors que ces effets secondaires ne peuvent être détectés que des mois ou des années après!"