En illustrations, les oeuvres de Vala Ola
Je vous laisse découvrir ces instants choisis
comme autant de petits bonheurs...
bon kif à vous!!
Chez ysengrin
(...) défense : supprimer le 14 juillet montrant que nous sommes les plus fort, trop prétentieux . police : les remplacer par les journalistes, ils trouvent plus vite les bandits qu’eux . transport :supprimer la SNCF, elle est toujours en retard sinon en grève. justice : supprimer les juges et appliquer la politique oeil pour oeil, dent pour dent . agriculture : ne plus financer pour qu’il ne travaille pas leur culture. (...) |
Chez rené
L’homme qui fait pleurer une femme, c’est un homme qui se tue à ses yeux. Un homme qui boit, c’est un gai luron, mais une femme qui boit c’est une pocharde, quelle hypocrisie. L’homme a crée des barrières artificielles avec différent langage, cette barrière tombe vite pour celui qui veut faire l’effort vers l’autre. Un homme ne peut partager son amour entre deux femmes, pour la simple raison, c’est qu’une femme remplit toute la vie d’un homme. L’homme qui a besoin de conquête féminine, c’est un homme incapable d’aimer (...) |
Chez lila
(...)Lorsque l’on a acquis l’habitude de méditer, l’énergie construit des formes autour de soi, des géométries invisibles mais tangibles. Lorsque certaines zones du corps se sont habituées à s’ouvrir, d’autres zones prennent de la force et les unes se relient aux autres, constituant des réseaux fins, puis plus fermes de fils de lumière. Ce maillage s’attache au corps par la conscience et l’Adn.(...) |
Chez medaye
(...)C'est l'histoire d'une espèce qui se balade dans Chinatown, batte de baseball à la main. C'est une jeune espèce, surdouée il est vrai, n'empêche qu'elle se trimballe encore un paquet de dents de lait et est reconnaissable à son étonnement quand à sa propre existence.
Là, au détour d'un coin sombre d'une ruelle étroite et reconnue comme coupe-gorge catégorie 4 dans le guide du Routard, il croise le Règne. Shhhhhht! Peut-être aimerais-tu savoir de quel règne il s'agit mais ton désir n'a pas d'importance! C'est un règne. <= Point final n°1 L'espèce lui dit alors, en introduction à un dialogue ci-après:... (...) |
la démission des clercs
Qu'ont à nous dire les sciences sociales sur la société? Peuvent-elles nous aider à comprendre le monde, et à agir pour le changer? Si l'on se donne la peine de regarder de près la production des chercheurs, au-delà des quelques grands intellectuels qui monopolisent l'attention des médias, la réponse à ces questions apparaît fort embarrassante. Car la majorité des spécialistes en sciences sociales semblent avoir renoncé à se saisir du politique: réfugiés derrière les murs de leur discipline ou de leur sous-discipline, ils ne savent plus interroger l'époque, ni répondre à l'exigence démocratique qui sourd de partout.
Ce sont les formes et les causes de cette "démission des clercs" qu'explore avec rigueur Alain Caillé dans cet essai roboratif. À partir d'une critique remarquablement argumentée de théories dominantes de la sociologie, de l'économie et de la philosophie politique, il montre comment l'oubli du politique s'inscrit au coeur même de ces théories.
Ainsi de l'utilitarisme et de l'individualisme méthodologique, qui ne permettent pas de reconnaître la dimension plurielle et collective de l'action sociale. Mais ce livre, n'est pas qu'un état des lieux critique de la recherche et des idées contemporaines. Il pose les bases d'un programme de travail pour les sciences sociales: sans rien céder sur les exigences d'un savoir rigoureux, elles doivent inventer de nouvelles formes de citoyenneté qui soient universalisables, et en même temps capables de reconnaître les singularités historiques et culturelles dans lesquels les hommes puisent leurs raisons de vivre et d'espérer.
Propositions du jour:
Clare Goodwin
- la créativité est une bénédiction sans bornes
- je suis à l'écoute
- je me permets d'exprimer ma joie
proposé par mamadomi